L'HOMME QUI AVAIT RECUEILLI LES DERNIERES PAROLES DE GUNNAR ANDERSSON
Henri Bonetti
Quand on vient du nord, la prochaine étape, après la ville dans laquelle vivent Samba et Fatou,
c’est l’Afrique. Et justement, pèse sur eux une superstition Africaine, la malédiction des castes.
Samba est Noble, Fatou est Forgeron. Le Noble a engrossé la Forgeron, mais il est interdit à la Forgeron
de se marier avec le Noble. Comme toujours, une seule solution pour résoudre les problèmes : le fric. Justement veille sur ces jeunes gens une ombre tutélaire, Oreste, un vieux gardien de musée.
Justement Oreste induit involontairement Samba en erreur quant à la valeur d’un tableau
d’Alphonse Monticelli. Justement le jeune homme le vole. Mais ce tableau n’appartient pas
à n’importe qui. La rancœur que suscite sa disparition est très supérieure à sa pauvre valeur financière.
Et voilà qu’une enquête est confiée à Karim Kacem. Et voilà qu’il est suivi par un tueur Serbe.
Et voilà que les morts se multiplient. Et voilà que tout le monde devrait savoir qui est Gunnar Andersson.
Henri Bonetti regrette Marseille quand il est à Paris et espère Paris quand il vit à Marseille.
Cette perpétuelle insatisfaction le pousse à écrire. L’homme qui avait recueilli les dernières paroles
de Gunnar Andersson est son quatrième roman publié chez Cohen&Cohen.
Paru le 11 octobre 2018

Format de 15,7 x 22cm
392 pages
Couverture avec jaquette
Prix public 21€